Venant d'un cursus de gestion de patrimoine financier, je ne pouvais pas passer à coté d'un des éléments qui m'a permis de me diriger vers la production audiovisuelle.
En seconde année de Master de gestion de patrimoine, un travail de recherche consistait à faire une étude très poussée sur un produit financier spécifique de notre choix.
En faisant des recherches sur la gestion du patrimoine artistique, j’ai découvert qu’il existait une société fonctionnant comme un fond commun de placement et qui permet une déduction d’impôts aux souscripteurs, alors que le fond effectue ses placements à destination de productions films. Je ne me serai pas intéressé d’avantage si, à l’origine, je n’avais pas un attrait quasi naturel pour le milieu de l’audiovisuel. Cinéphile de nature, je n'ai pas mis longtemps à me décider; j'avais trouvé le thème de mon devoir.
L'objectif était de réussir ce travail mais aussi d'en apprendre d'avantage sur un marché de niche dans lequel je me voyais parfaitement bien évoluer professionnellement à la suite de mes études.
J'ai aussi voulu donner une forme particulière à mes recherches. Laissant tomber les heures dans les bibliothèques, j'ai tenté de rencontrer celles et ceux qui connaissent le mieux les SOFICA. Il ne m'a pas fallu longtemps avant de trouver sur internet tous les noms des gestionnaires des quelques dix SOFICA accréditées cette année là. Après une série de mails, j'ai décroché deux entretiens. L’idée était de m’approcher d’un peu plus près de cette société pour en apprendre d’avantage et me constituer, dans le meilleur des cas, quelques contacts intéressants.
Outre ce que j'ai appris sur le fonctionnement de ces sociétés, leur historique, le mode de gestion, la notion de risque, les critères de choix des films... Ce fut avant tout des rencontres qui m'ont fait avancer sur mon choix de carrière.
En seconde année de Master de gestion de patrimoine, un travail de recherche consistait à faire une étude très poussée sur un produit financier spécifique de notre choix.
En faisant des recherches sur la gestion du patrimoine artistique, j’ai découvert qu’il existait une société fonctionnant comme un fond commun de placement et qui permet une déduction d’impôts aux souscripteurs, alors que le fond effectue ses placements à destination de productions films. Je ne me serai pas intéressé d’avantage si, à l’origine, je n’avais pas un attrait quasi naturel pour le milieu de l’audiovisuel. Cinéphile de nature, je n'ai pas mis longtemps à me décider; j'avais trouvé le thème de mon devoir.
L'objectif était de réussir ce travail mais aussi d'en apprendre d'avantage sur un marché de niche dans lequel je me voyais parfaitement bien évoluer professionnellement à la suite de mes études.
J'ai aussi voulu donner une forme particulière à mes recherches. Laissant tomber les heures dans les bibliothèques, j'ai tenté de rencontrer celles et ceux qui connaissent le mieux les SOFICA. Il ne m'a pas fallu longtemps avant de trouver sur internet tous les noms des gestionnaires des quelques dix SOFICA accréditées cette année là. Après une série de mails, j'ai décroché deux entretiens. L’idée était de m’approcher d’un peu plus près de cette société pour en apprendre d’avantage et me constituer, dans le meilleur des cas, quelques contacts intéressants.
Outre ce que j'ai appris sur le fonctionnement de ces sociétés, leur historique, le mode de gestion, la notion de risque, les critères de choix des films... Ce fut avant tout des rencontres qui m'ont fait avancer sur mon choix de carrière.
En sortant de ces entretiens, j'ai compris que ce milieu de l'audiovisuel correspondait le plus à mes aspirations. J'ai appris que ma passion pour l'industrie cinématographique pouvait s'inscrire parfaitement dans un cursus à vocation financière. Ce travail fut aussi très intéressant sur le plan technique car j'ai du préparer ces entretiens en ciblant bien mes questions. Un peu à la manière d'un journaliste qui cherche les bons mots et les questions qui fera parler un maximum son interlocuteur.
Mon devoir fut réussi mais il m'aura surtout permis d'apprendre des choses essentielles pour la suite de mon cursus.
C'est notamment à la suite de cela que j'ai entrepris d'aller passer quelques mois à l'étranger pour m'enrichir d'une expérience dans l'audiovisuel.
Mon devoir fut réussi mais il m'aura surtout permis d'apprendre des choses essentielles pour la suite de mon cursus.
C'est notamment à la suite de cela que j'ai entrepris d'aller passer quelques mois à l'étranger pour m'enrichir d'une expérience dans l'audiovisuel.
C'est aussi en référence à cette expérience que j'ai postulé principalement dans des établissements de financement du cinéma pour mon alternance en MBA.
Enfin c'est en parlant de ce devoir que j'ai montré ma motivation lors d'un entretien qui m'a valu un stage de 6 mois au sein d'une société de financement et de production.
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